Toyota, qui avait déjà vu juste dès 1999 en misant sur l'hybridation des moteurs, fait aujourd'hui le pari que l'avenir de la mobilité passe par le covoiturage et la voiture autonome. Après avoir signé un joli chèque de 500 millions de dollars l'été dernier pour prendre position dans Uber, le géant nippon remet la main au portefeuille et réinjecte 667 millions dans l'entreprise américaine de VTC. La holding japonaise SoftBank entre également au capital à hauteur de 333 millions de dollars. Uber bénéficie ainsi d'un apport de cash d'un milliard de dollars qui va l'aider à surpasser les dernières contraintes techniques empêchant encore le déploiement du véhicule sans chauffeur.