Le département internet de l'université d'Oxford s'est penché sur le profil des utilisateurs de Facebook. Ils ont fait un étonnant constat : avant la fin du siècle, il y aura plus de morts que de vivants sur le célèbre réseau social. Si le rapport de force entre les nouveaux membres et les comptes de disparus suit la même courbe au cours des prochaines années, on comptera en effet 4,9 milliards de profils décédés à l'horizon 2100. Ces comptes représenteront à coup sûr une mine d'or anthropologique et historique pour les générations futures.